marienord a partagé une photo de Vauvillers (70)
Message › Je suis en colère
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Le carnaval bat son plein.
Il ne s'agit évidemment pas de « déboulonner » Macron... même si certains le préconisent.
Sa "statue" en a néanmoins pris un coup, dès le début du mouvement, depuis son inaction coupable, confirmant ainsi que concertation et négociation n'ont d'autre choix que de passer par la violence face à ce Gouvernement aussi.Aujourd'hui encore, autour du "passage de pommade" bordelais qui laisse songeur : « Il y a de manière sincère des préoccupations, j’y ai apporté des réponses le 10 décembre. Des décisions seront prises. Le pays a besoin d’un retour au calme. La situation que nous vivons n’est plus compréhensible par nombre de nos concitoyens. Que chacun revienne au civisme, à la civilité. » a-t'il déclaré. Certes, il est le repoussoir de tout ce qui s'est passé avant lui mais il reste précisément celui qui a mis le feu aux poudres (qu'il le reconnaisse ou non) par ses attitudes hautaines, ses petites phrases vexatoires, son dédain affiché, ses mesures injustes, le RESPONSABLE DE LA MONTÉE DE LA COLÈRE Sur l’autorité face aux "Gilets jaunes", il a aussi ajouté : « La seule solution, celle qui accompagne l’autorité, c’est le discernement et la morale collective. Chacun doit être conscient de ses actes. Chacun doit revenir à la raison. » Que n'a-t-il fait preuve de discernement ! On pourrait aussi discuter de sa morale tout autant de savoir s'il est parfaitement conscient de ses actes. S'il avait fait son "job" plutôt que de vilipender les Français, notamment depuis l'étranger, peut-être que personne n'aurait besoin de revenir à la raison...On pourrait aussi lui conseiller de freiner ses plus proches, ceux qui remettent toujours une pièce dans le "Scopitone" comme Castaner - encore à Limoges cet après-midi, mélangeant à son gré "Gilets jaunes" et casseurs : « Chaque fauteur de trouble, chaque brute qui a déclenché la violences sera trouvé » - et consorts, prenant un malin plaisir à jeter de l'huile sur le feu.►Je voudrais déclarer, à la lecture de http://lesvoivres88240.over-blog.com/2019/02/j-ai-verse-des-larmes-a-cause-de-ma-decision.html que je crois beaucoup plus aux larmes de Michel Fournier, maire des Voivres au moment de décider de supprimer l'école du village qu'à celles de Juppé, versées il y a quelques jours en conférence de presse. Allez ! J'aurais tendance à dire : bien joué. Contentons-nous de féliciter Juppé qui, le 11 mars, après proposition de Ferrand et avec l'aval de la Commission des lois de l’Assemblée nationale, va finir par être recasé (après avoir réclamé - et donc obtenu - un « droit à l'oubli ») comme "Sage" au Conseil constitutionnel. Comme quoi, avec quelques petits arrangements entre amis, tout arrive...