marienord a partagé une photo de Vauvillers (70)
Merci
> une enveloppe provenant de la Mairie de Les Voivres renfermant les deux premiers exemplaires de "Le P'tit Journal d'Ici".Je remercie Madame Geneviève Marmiesse qui a tenu sa promesse... et pose "la question qui tue" : serais-je destinataire des suivants, au besoin en pièce-jointe à un mail pour éviter des frais d'envoi ?> une autre enveloppe, plus volumineuse, renfermant, elle, un ouvrage intitulé "L'AUTRE TERREUR APRÈS LA FOUDRE Le 11e Régiment d’Artillerie de Marine", digne héritier du 11ème R.A.C.L.H., que m'offre le Lieutenant-Colonel Gagnaire dans lequel, comme il l'écrit sur son carton joint, ma « commune de naissance n'y a pas été oubliée ».Contrairement à certains, je n'ai pas eu besoin de "harceler" le colonel Gagnaire qui, je dois dire, a toujours aimablement répondu à mes sollicitations et m'a merveilleusement aidé dans la poursuite de mon "Objectif 2020", malheureusement en partie victime collatérale de la Covid-19.Je n'ai pas contribué à cet ouvrage de près de 290 pages et doté d'une riche illustration mais je suis fier, quelque part, que Les Voivres sortent enfin de cette espèce d'anonymat, pour ne pas dire de tabou ou de black-out qu'a été le début (je devrais écrire l'ensemble car archives et témoignages sont rares) de la Seconde Guerre mondiale, dans un livre prestigieux.Concernant cet épisode douloureux pour les "Bigors" de la 10ème Batterie du 11ème R.A.C.L.H d'alors dont le 11ème R.A.Ma. d'aujourd'hui est aussi l'héritier, outre quelques photos inédites, y figure notamment - certains initiés pourraient s'en souvenir - le croquis du "Combat de Les Voivres", un temps proposé en "symétrique" de la plaque commémorative retenue puis finalement retiré du projet.Toute modestie mise à part, le Lieutenant-Colonel Gagnaire qui s'est investi totalement dans ce remarquable ouvrage, m'avait écrit le 1er octobre dernier : « J’avais prévu de vous faire remettre un exemplaire de notre livre lors des cérémonies aux Voivres.
Je regrette que cela n’ait pu se faire. Je sais quel investissement personnel vous aviez mis dans ce projet et il est vraiment dommage que nous n’ayons pu le mener à terme. »
Son geste de « camarade » est extrêmement gratifiant pour moi et, même si ce n'était pas le but de mon initiative, c'est une belle récompense. Je le remercie infiniment du fond du cœur.
(complété le 11-10-2020)