En ce jour de Sainte-Barbe, je ne pensais pas vraiment poster un article sur, précisément, ce jour, béni des artilleurs, ces « mathématiciens du champ de bataille », mais simplement y faire allusion, dans un court commentaire – et à la rigueur un lien – de "La "Météo des Vallées" du blog « Les Voivres 88240 Quand le Val de Vôge a décidé qu'il ne voulait pas mourir » qui présente l’avantage, pour moi en tout cas, d’offrir souvent un espace - alliant à la fois météo et calendrier - pouvant laisser libre cours à notre imagination.
Je vais cependant m'y atteler, ce qui me permets aussi de partager, dans ce message et à deux jours du « 2 S », la vidéo de l'« Austerlitz » du maire de Les Voivres. autrement dit, sa soirée du 2 décembre à Paris avec - on le sait maintenant - un candidat à la Présidentielle.
http://lesvoivres88240.over-blog.com/2016/12/michel-fournier-en-direct-du-cafe-wepler-avec-alexandre-jardin.htmlet de lui attribuer, par la même occasion, le titre d'« Artilleur d'honneur » en raison de ses nombreuses actions et de l'intensité de ses "tirs délivrés", explosifs, percutants ou fusants, pour défendre, encore et toujours, la ruralité.
Mais puisque Sainte-Barbe il y a et qu’artilleur je suis, je me propose de vous faire apprendre "l’Artilleur de Metz" (rassurez-vous, en version expurgée et non pas "corps de garde", encore que certain[e]s la préféreraient peut-être…) chanté, notamment à cette célébration, pour clôturer un repas de corps "pantagruélique", autrefois réservé aux hommes et se déroulant après des cérémonies, aussi officieuses qu’officielles, en l'honneur de leur Patronne en particulier et de l'Artillerie en général. Avec la féminisation des armées, je sais que les féminines (La Palice en aurait dit autant) y participent aussi, ignorant toutefois si c’est la version 'soft' de "L’Artilleur de Metz" qui y résonne.
Quand vous le connaîtrez par cœur, je vous distillerai alors, ici et là, quand l’opportunité se présentera, quelques définitions, principes généraux, modes d’action et de correspondance militaires, prêtant – et c’est heureux - plutôt à sourire dans ce monde de brutes.